Brochure Libreville 2014
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Brochure Libreville 2014
SYMPOSIUM INTERNATIONAL DE LIBREVILLE SUR LE DIABèTE EN AFRIQUE 6 et 7 juin 2014, Sénat 4eme SYMPOSIUM INTERNATIONAL SUR LE DIABèTE EN AFRIQUE Éditorial de Madame Pascaline Mferri Bongo Ondimba p.3 État des lieux du diabète en Afrique p.4 Projet SUDOSCAN : point d’avancement p.5 Programme p.6 Informations pratiques p.8 6 et 7 juin 2014 Mesdames et Messieurs, Cher(e)s Ami(e)s, La Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba accueille les 6 et 7 Juin 2014 le « Symposium International de Libreville sur le Diabète en Afrique ». Créé en 2011 en partenariat avec la Fondation Omar Bongo Ondimba pour la Paix, la Science, la Culture et l’Environnement, ce symposium s’est rapidement imposé comme l’un des rendezvous majeurs en Afrique. De nombreux médecins africains et internationaux, spécialistes du diabète, prennent part à ce Symposium dans l’objectif de partager et de débattre de leurs travaux scientifiques, mais aussi d’informer les professionnels du corps médical, les paramédicaux, les étudiants, les représentants des pouvoirs publics, les populations et les industries pharmaceutiques des avancées des traitements, de la problématique des maladies consécutives au diabète et des mécanismes liés à son dépistage et à sa prévention. Forts de l’appui du « Comité scientifique du Symposium », nous sommes parvenus à donner une dimension internationale à cet évènement. Aujourd’hui, la priorité est au partage des expériences mutuelles et réciproques entre les experts du diabète et les personnels de santé locaux. En effet, si nous souhaitons prétendre enrayer la courbe ascendante du nombre de malades du diabète, qui constitue à lui seul un véritable « fléau » sur notre continent, il est plus que nécessaire, sinon vital, de prendre en compte nos spécificités locales et de livrer à nos « acteurs de terrain » toutes les clés pour faciliter la prise en charge effective des populations. Cette démarche va de la sensibilisation aux soins, en passant par la prévention, le dépistage et le diagnostic. En ma qualité de Présidente d’honneur de la Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba, je suis très heureuse de vous accueillir à Libreville pour la 4ème Edition de ce Symposium International sur le Diabète. J’ai espoir que cette année encore, nos échanges, vos échanges, seront fructueux, et qu’ils nous permettront tous ensemble de lutter plus efficacement contre le diabète en Afrique et plus particulièrement au Gabon. Madame Pascaline Mferri Bongo Ondimba Présidente d’honneur de la Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba La Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba Deux priorités : les femmes et la santé Sensibiliser, dépister, traiter les pathologies La Fondation se donne pour mission de mener des projets ponctuels et réguliers en direction des populations gabonaises. Outre des dons de matériel médical aux Centres Hospitaliers de Libreville et de ses environs, des caravanes médicales se sont déplacées dans toutes les provinces du Gabon afin de vacciner les populations contre les principales maladies et de leur faire bénéficier de consultations spécialisées gratuites. Former, insérer les femmes En 2009, la Fondation a créé le Centre Saint-Joseph, une structure gérée par la Congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cracovie. Un enseignement religieux et scolaire, de la maternelle au primaire, y est prodigué sous la tutelle du Ministère de l’Education. Un centre de formation professionnelle propose aux jeunes filles à revenu modeste d’obtenir, au terme de deux années de formation gratuite, un certificat en coupe et couture et de bénéficier du don d’un équipement pour être rapidement opérationnelles sur le terrain. Une formation en secrétariat bureautique y est également dispensée. Depuis 2007, la Fondation organise chaque année des congrès médicaux, dont le Congrès Euro-Afrique Cancer en collaboration avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur gabonais, le Congrès de Chirurgie Laparoscopique en collaboration avec l’Ecole Européenne de Chirurgie Laparoscopique de Bruxelles, et le Congrès Africain de Gastroentérologie en partenariat avec la Société Gabonaise des Maladies de l’Appareil Digestif (SGMAD) et l’Association Africaine Francophone de Formation Continue en Hépa-Gastroentérolgie (AAFFCHGE). Chaque été, une « Nuit de la Musique » est retransmise sur les chaînes nationales et régionales. Cet évènement rassemble de nombreux artistes locaux aux styles musicaux très variés. 3 4eme SYMPOSIUM INTERNATIONAL SUR LE DIABèTE EN AFRIQUE ÉTAT DES LIEUX DU DIABÈTE EN AFRIQUE Au Gabon, bien que la lutte contre le diabète fasse l’objet de plusieurs initiatives, la maladie ne cesse de progresser. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime que, de 2000 à 2025, la progression des cas de diabète serait de 40% dans les pays développés et qu’elle avoisinerait les 170% dans les pays dits « en voie de développement ». A l’instar d’autres pays du continent africain, le Gabon doit renforcer la prévention et la prise en charge de cette maladie. Selon les données de la Fédération Internationale du Diabète (FID), le Gabon figure parmi les quatre pays d’Afrique les plus touchés par la maladie. 4,4% de la population de 20 à 79 ans est atteinte de diabète. Ce chiffre pourrait atteindre 5,8% en 2030, selon les projections de la FID. Estimation de la prévalence du diabète en Afrique, en 2011 (%) Il s’agit notamment de : • Sensibiliser les populations, surtout les femmes et les jeunes, aux enjeux de l’alimentation et de l’hygiène de vie; • Donner l’opportunité aux professionnels de santé dans les structures hospitalières existantes de rechercher à poser a priori le diagnostic lié au diabète. • Renforcer les efforts envers les communautés isolées pour leur prodiguer des conseils et leur proposer des soins médicaux. (20 - 79 ans, prévalence comparative) < 2,5 2,5 - 4 4 - 4,5 4,5 - 5 5-6 >6 Selon l’OMS, plus de 347 millions de personnes sont atteintes de diabète dans le monde. D’ici 2030, elles seront 552 millions, soit la 7ème cause de décès à travers le monde. 80% des décès causés par le diabète surviennent dans des pays pauvres et en voie de développement La majorité des personnes atteintes de diabète ont entre 40 et 59 ans. 78 000 enfants développent chaque année le diabète de type 1. L’Afrique abrite le pourcentage le plus élevé de cas de diabète non diagnostiqués, estimé à 78%. En ce qui concerne les soins de santé pour le diabète, l’Afrique représente moins d’1% des dépenses mondiales. 4 Source : IDF Diabetes Atlas 4th ed. ©International Diabetes Federation, 2012 Le diabète n’est plus aujourd’hui une maladie qui prévaut uniquement dans les pays riches. L’implication de la Fondation Albertine Amissa Bongo dans la recherche contre le diabète a permis de promouvoir une étude scientifique de dépistage du diabète et du pré-diabète au Gabon et au Congo. La Fondation a en particulier soutenu ce projet à travers l’acquisition de deux machines SUDOSCAN qui permettront, lorsque l’étude aura validé le concept, un dépistage simple du diabète. PROJET SUDOSCAN POINT D’AVANCEMENT INTÉRÊT DE SUDOSCAN DANS LE DÉPISTAGE DU DIABÈTE ET DU PRÉ-DIABÈTE DANS UNE POPULATION AFRICAINE : ÉTUDE PILOTE BI-CENTRIQUE (PRÉSENTÉ AU CONGRÈS DE LA SFD 2014) T. Carmoi1, C. Kakou2, E. Bouenizabila3, M. Saad4, L. Bordier5, B. Beauduceau5 INTRODUCTION Le diabète représente un problème de santé publique majeur en Afrique avec une prévalence supérieure à 10% dans certains pays et un pourcentage de cas non détectés estimé à près de 80% 6. La mesure de la fonction sudorale a été proposée pour évaluer l’atteinte des petites fibres nerveuses périphériques qui peuvent être lésées très précocement dans le pré-diabète et le diabète 7. SUDOSCAN est une méthode simple, rapide (5 mn), non invasive et quantitative de la fonction sudorale, basée sur une réaction électrochimique entre les ions chlorures de la sueur et des électrodes en contact avec les paumes des mains et les plantes des pieds. Plusieurs études réalisées en Chine, en Inde ou en Amérique centrale ont montré son intérêt dans le dépistage des patients diabétiques en se basant sur cette complication microvasculaire précoce 8,9. Cette étude a pour but de montrer l’intérêt de SUDOSCAN dans le dépistage du pré-diabète et du diabète en Afrique où le nombre des sujets à dépister est considérable et les moyens médicaux aléatoires PATIENTS ET MÉTHODES Etude prospective reposant sur un dépistage du diabète et du « pré-diabète» par un questionnaire médico-biographique inspiré du questionnaire FINDRISC, une glycémie au doigt aléatoire, un dosage de l’HbA1C par un automate s’affranchissant des hémoglobinopathies et une mesure SUDOSCAN. Un centre est ouvert au Gabon (Libreville) et un au Congo (Brazzaville). Le protocole de recherche a été soumis aux comités d’éthique des 2 centres. 300 sujets non connus comme diabétiques (âge > 21 ans) et 200 patients diabétiques de type 2 connus seront inclus. Seront considérés comme diabétiques : les sujets déjà diagnostiqués et traités et/ou ayant une glycémie aléatoire ≥ 2g/l et/ou une HbA1C ≥ 6,5%. Seront considérés comme « pré-diabétiques » les sujets ayant une HbA1C entre 6 et 6,5%. L’acceptabilité de ces différentes méthodes a également été évaluée par un questionnaire. résultats La totalité des patients ont trouvé que l’examen SUDOSCAN était acceptable et le recommanderaient à un proche. Seuls 2% ont signalé des sensations pendant l’examen et 4% l’ont trouvé long. 28% des sujets ont trouvé certaines questions du FINDRISC difficiles à comprendre et 4% ont trouvé le prélèvement pour l’HbA1C ou la glycémie capillaire douloureux. Population Totale (n=117)! ! Femmes (%)! Age (années)! IMC (kg/m²)! Tour de taille (cm)! Tour de taille / Taille! PAS (mmHg)! PAD (mmHg)! Glycémie (g/L)! HbA1C (%)! Conductance Mains (µS)! Conductance Pieds (µS)! Patients avec HbA1C < 7% (n=58)! Patients avec HbA1C ≥ 7% (n=59)! Moyenne! SD! Moyenne! SD! Moyenne! SD! 65! 58,84! 28,72! 98,04! 0,61! 135,73! 72,14! 1,62! 7,65! 64,57! 70,63! ! 12,03! 4,86! 11,17! 0,07! 19,23! 21,52! 1,16! 2,35! 13,11! 14,91! 61! 61,37! 28,56! 97,51! 0,61! 135,76! 72,88! 1,14! 5,99! 66,00! 73,81! ! 11,54! 4,62! 11,44! 0,07! 18,61! 20,34! 0,27! 0,61! 12,60! 13,37! 69! 56,26! 28,89! 98,59! 0,61! 135,69! 71,38! 2,10! 9,34! 63,12! 67,40! ! 11,96! 5,09! 10,85! 0,07! 19,84! 22,62! 1,48! 2,27! 13,46! 15,68! 70 60 50 40 30 20 10 HbA1C <7% HbA1C ≥7% 100 ! ! NS! NS! NS! NS! NS! NS! <0,0001! <0,0001! NS! 0,020! 80 0 P Test t de Student! 90 Conductance mains (μS) ! Conductance pieds (μS) L’étude est en cours. A ce jour, les données ont été recueillies sur 117 patients déjà connus comme diabétiques dans le centre de Libreville. Les données démographiques, biologiques ainsi que les conductances mesurées par SUDOSCAN sont données dans le tableau pour l’ensemble de la population et pour 2 groupes définis par rapport à l’HbA1C (7% étant la valeur médiane de l’HbA1C). Les figures illustrent les conductances mains et pieds en fonction de la valeur de l’HbA1C. Dans cette population âgée de 59±12 ans, constituée majoritairement de femmes (65%), ayant une HbA1C de 7.7±2.4 % et un IMC de 29±5 kg/m2, les moyennes des conductances mains et 100 des pieds étaient respectivement de 65±13 et 71±15 µS. Les conductances des pieds des patients ayant une HbA1C p = 0,02 90 ≥ 7% étaient significativement plus basses que celles des patients ayant une HbA1C < 7%. Démographie et conductances sur la population totale et selon le niveau d’HbA1C (7%: valeur médiane de la population) / IMC : Indice de masse corporelle NS 80 70 60 50 40 30 20 10 0 HbA1C <7% HbA1C ≥7% Conductances moyennes des mains et des pieds en fonction de HbA1C (7%: médiane de la population ; HbA1C ≥ 7% : n=59 ; HbA1C < 7% : n=58) DISCUSSION ET CONCLUSION Les valeurs des conductances observées dans cette population Africaine sont à rapprocher des valeurs obtenues chez des patients AfroAméricains présentant un diabète de type 2. Dans cette population âgée de 60±10 ans, comprenant 50% de femmes, dont l’HbA1C était de 7.85±1.8 % et l’IMC de 34±6 kg/m2, les moyennes des conductances mains et des pieds étaient respectivement de 47±16 et 63±19 µS 10. Cette étude préliminaire souligne d’abord la faisabilité de ce protocole, même si des difficultés logistiques ont ralenti la chronologie du recueil de données initialement prévue, et confirme ensuite la possibilité d’utiliser SUDOSCAN en Afrique. La poursuite de l’étude est en cours avec des mesures dans la population diabétique de Brazzaville et dans la population générale des deux centres qui permettront d’évaluer les performances diagnostiques de cette méthode de dépistage dans ce contexte très particulier où la grande fréquence des diabètes méconnus va de pair avec une insuffisance des moyens. / 1. Médecine interne, hôpital du Val-de-Grâce - Paris, investigateur coordonnateur. / 2. Endocrinologie, centre hospitalier de Libreville - Gabon, investigateur principal. / 3, Endocrinologie, CH Brazzaville - Congo, investigateur principal. / 4. Neurologie, hôpital du Val-de-Grâce - Paris. / 5. Endocrinologie hôpital Bégi - St Mandé, France. / 6. IDF Diabetes Atlas, 5th Edition, 2011, www.idf.org. / 7. Tesfaye S, Chaturvedi N, Simon EM. Vascular risk factors and diabetic neuropathy. N Engl J Med 2005;352:341-350. / 8. Casellini CM, Parson HK, Richardson MS, Nevoret ML, Vinik AI. Sudoscan, a Noninvasive Tool for Detecting Diabetic Small Fiber Neuropathy and Autonomic Dysfunction. Diabetes Technol Ther 2013, 15(11), 948-53. / 9. Eranki VG, Santosh R, Rajitha K, Pillai A, Sowmya P, Dupin J, Calvet JH. Diabetes Res Clin Pract. 2013 Sep;101(3) / 10. Freedman BI, Bowden DW, Smith SC, Xu J, Divers J. Relationships between electrochemical skin conductance and kideney disease in type 2 diabetes. J Diabetes Complications. 2014 Jan-Feb;28(1):56-60 / Les auteurs n’ont déclaré aucun conflit d’intérêt / Remerciements : Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba, promoteur de l’étude. Le laboratoire Roche Diagnostic a offert les lecteurs de glycémie capillaires et consommables des 2 centres. 5 4eme SYMPOSIUM INTERNATIONAL SUR LE DIABèTE EN AFRIQUE LE PROGRAMME VENDREDI 6 Juin 2014 09h00 - 09h30 SESSION PLENIERE D’OUVERTURE M. Daniel ONA ONDO, Premier Ministre, Chef du Gouvernement de la République Gabonaise M. Fidèle MENGUE M’ENGOUANG, Ministre de la Santé de la République Gabonaise Dr Boureima Hama SAMBO, Représentant de l’Organisation mondiale de la Santé au Gabon Mme Angélique NGOMA, Vice-Présidente 1 de la Fondation Albertine Amissa Bongo Ondimba Invités M. Pacôme MOUBELET, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique de la République Gabonaise Pr Angélique NDJOYI MBIGUINO, Doyen de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université des Sciences de la Santé PROGRAMME SANTÉ PUBLIQUE Les conséquences du diabète sur la société sont-elles plus lourdes 09h30 - 10h00 en Afrique qu’en Occident ? Si oui pourquoi ? Mme Susanne BRIXTOFTE OLEJAS, Coordinatrice Programme de la Fondation mondiale du diabète 10h00 - 10h30 Organiser une campagne de sensibilisation sur le diabète en Afrique ? Intérêt, protocole et impacts Dr Nelly MORTINIERA, France et Dr Eric BAYÉ, Gabon 10h30 - 11h00 Pause 11h00 - 12h30 Focus sur 3 grandes problématiques en Afrique L’HTA du diabétique, ses particularités et son traitement en Afrique Pr M. Pierrette Béatrice NTYONGA-PONO, Gabon Peut-on traiter le DT2 selon les recommandations en Afrique ? Dr Chantal KAKOU, Gabon Le diabète « africain » : particularités, mécanismes et traitements Pr Eugène SOBNGWI, Cameroun 12h30 - 14h30 Repas - Symposium Laboratoire Servier « Les premiers mois du patient diabétique de type 2 Bilan de découverte et attitude thérapeutique » Pr M. Pierrette Béatrice NTYONGA-PONO, Gabon / Dr Eric BAYE, Gabon / Dr Jean-Emmanuel ECKE NZENGUE, Gabon / M. Georges JABRE, Côte d’Ivoire / Pr Pierre-André KOMBILA, Gabon 14h30 - 15h30 Insuline et diabètes La mise à l’insuline du diabète de type 2 : pourquoi et comment ? Pr Saïd Nourou DIOP, Sénégal Le DT1 et sa prise en charge en Tanzanie (en Anglais) Dr Kaushik RAMAIYA, Tanzanie 15h30 - 16h00 Pause 16h00 - 16h30 Gérer un diabétique en chirurgie ou en urgence cardiologique 16h30 - 17h00 Comment protéger les reins du diabétique au-delà du contrôle glycémique et tensionnel ? Dr Mesmin DEHAYEM, Cameroun Pr Mohamed BELHADJ, Algérie À 17h30, en marge du programme officiel, le laboratoire Roche animera l’atelier Auto surveillance Glycémique - Mise en pratique 6 6 et 7 juin 2014 SAMEDI 7 Juin 2014 PROGRAMME SCIENTIFIQUE 09h00 - 09h30 L’avancement du projet SUDOSCAN et ses premiers résultats 09h30 - 10h30 Présentation des projets de terrain Pr Thierry CARMOI, France et Dr Chantal KAKOU, Gabon Animation et modération : Pr Michel KREMPF, France et Pr Eugène SOBNGWI, Cameroun Projet 1 : “Apport des pairs éducateurs dans l’éducation thérapeutique des patients diabétiques au Mali” M. Stéphane BESANÇON, Mali Projet 2 : “Diabète et grossesse compliquée de paludisme au Gabon” Dr Elisabeth LENDOYE, Gabon Projet 3 : “Alcool et diabète” Pr Eugène SOBNGWI, Cameroun 10h30 - 11h00 Pause 11h00 - 11h30 Les statines ont-elles démontré une réelle efficacité cardiovasculaire chez les diabétiques ? Pr Michel KREMPF, France 11h30 - 12h00 La question de l’observance du traitement anti-diabétique, en particulier chez le patient gabonais Pr M. Pierrette Béatrice NTYONGA-PONO, Gabon 12h00 - 12h30 Anciens ou nouveaux médicaments du DT2 : avantages, coûts et risques respectifs ? 12h30 - 14h30 Repas - Symposium Laboratoire Roche « Importance de l’autosurveillance glycémique » Pr Serge HALIMI, France Dr Chantal KAKOU, Gabon 14h30 - 15h30 TABLE RONDE Cahier des charges : quelles actions mettre en place en 2014/15 ? Animation et modération : Dr Eric Bayé, Gabon, Pr Serge Halimi, France et Pr Thierry Carmoi, France Formation 1. En Afrique subsaharienne, faut-il former les soignants qui sont déjà sur le terrain : médecins généralistes, sages femmes et paramédicaux ? Comment ? Pr Assa TRAORE SIDIBE, Mali 2. La place de l’UNFM et du programme @-diabète dans le dispositif de lutte contre le diabète au Gabon Pr M. Pierrette Béatrice NTYONGA-PONO, Gabon et Christian MESENGE,Secrétaire général de l’UNFM Dépistage Le diabète gestationnel : est-il déjà temps de s’en préoccuper ? Qui cibler et comment ? Pr Eugène SOBNGWI, Cameroun et Dr Dominique HUET, France 15h30 - 16h00 SESSION DE CLÔTURE Mme Angélique NGOMA Vice-Présidente 1 de la FAABO 7 INFORMATIONS PRATIQUES Ambassade de France Ambassadeur de France : Jean-François Desmazières 1, Rue du pont Pirah - B.P. 2125 - Libreville Tél. : (00 241) 79 70 00 Taux de change 1€ = 655,96 CFA Consulat de France Rue Ange Mba - B.P. 2161 - Libreville Tél. : (00 241) 74 34 20 Indicatif téléphonique 241 Contacts organisation Catherine BOUVIER : (00 241) 02 43 69 26 Florence YELE : (00 241) 07 90 64 16 Roxane GUILLET : (00 241) 05 42 22 21 Isabelle GALIEVSKY : (00 33) 6 14 08 77 48 Ambassade d’Algérie B.P. 4008, Libreville Tél. : (00 241) 73 23 18, (00 241) 44 38 02 Ambassade de Bénin Tél. : (00 241) 73 46 11 Contact presse Ambassade du Cameroun Bd Léon Mba, 1400 Libreville Tél. : (00 241) 73 28 00 Hôtel Le Méridien Re Ndama Hôtel B.P. 4064 - Libreville, Gabon Tél. : (00 241) 79 32 00 Ambassade du Congo Brazzaville B.P. 269 Quartier Batterie, Libreville Tél. : (00 241) 73 00 62, (00 241) 73 29 06 Olivier COSTES : (00 33) 6 10 32 31 16 Polyclinique El-Rapha B.P. 256 Libreville Tél. : (00 241) 20 01 03 Consulat du Mali B.P. 4007, Quartier Louis, Libreville Tél. : (00 241) 73 73 82 Ambassade de Sénégal B.P. 3856, Libreville Tél. : (00 241) 77 42 67 Ambassade de Côte d’Ivoire B.P. 3861 , Libreville Tél. : (00 241) 73 82 70, (00 241) 73 74 12 en partenariat avec
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