Bericht der Parisexkursion als PDF
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Parisexkursion 2014 1. Einleitung (Organisation, Anreise) (von Karolina) La première excursion organisée par le département de franco-romanistique a eu lieu du 26 au 29 juin 2014 à Paris. Ce fut avec grand enthousiasme que nous avons effectué tous les préparatifs pour le voyage. Le jeudi 26 juin de bon matin, trois professeurs et dix étudiants se sont réunis à l'aéroport de Nuremberg. L´aventure pouvait démarrer ! Chaque étudiant qui avait suivi un des séminaires portant sur l' Académie française pendant le semestre avait la possibilité de participer à ce voyage. Après un vol divertissant de deux heures, nous avons foulé le sol français à l'aéroport Charles de Gaulle avant de nous rendre en bus vers le centre de Paris. Ce trajet nous mena à travers de nombreuses banlieues, ce qui nous prépara à la vie de la grande ville. Pendant le voyage, nous avons eu des conversations amusantes avec les autres passagers; à titre d'exemple, une femme d'âge moyen était convaincue que la langue officielle en Franconie était le français jusqu'à ce que nous lui démentions le contraire. Rendus fébriles par l'attente, nous avons enfin atteint la Place de la Nation où un passant nous indiqua aimablement le chemin de notre hôtel. C'était un hôtel qui nous a immédiatement enthousiasmés. L'excursion pouvait commencer ... Die erste Exkursion im Laufe unseres Französischstudiums fand vom 26. bis zum 29. Juni 2014 in die Weltmetropole Paris statt. Voller Vorfreude wurden alle Vorbereitungen getroffen, bevor wir, 3 Dozenten und 10 Studenten, uns am Donnerstag, den 26. Juni, in aller Frühe um 5.45 Uhr am Nürnberger Flughafen trafen, um in das Abenteuer zu starten. Voraussetzung hierfür war die Teilnahme während des Semesters an einem der Seminare, die die Académie française behandelten, eine prestigereiche französische Institution, welche die französische Sprache pflegt und deren Besuch gleichsam einer der beeindruckenden Höhepunkte im Laufe der Exkursion werden sollte… Nach einem kurzweiligen Flug von zwei Stunden durften wir am Flughafen Charles de Gaulle französischen Boden betreten, bevor wir uns mit dem Bus weiter Richtung Paris deplazierten. Diese Fahrt führte uns durch zahlreiche Banlieues, die uns auf das Großstadtleben vorbereiten sollten, wobei es zu heiteren Unterhaltungen schon während der Fahrt mit den dort ansässigen Passagieren kam. So war beispielsweise eine Dame mittleren Alters fest davon überzeugt, dass man in Franken, en Franconie, Französisch sprechen müsse, bevor wir ihr mühsam die Bestandslage erklärten... Voller Erwartung kamen wir nun endlich an der Place de la Nation an, von wo aus uns jeder vorbeikommende Franzose sehr freundlich helfen wollte, das nahegelegene Hotel zu finden... bis wir dort schließlich auch angelangten … und es war wirklich ein Hotel, wovon wir Studenten hellauf begeistert waren, und die Parisexkursion konnte beginnen... 2. Larousse (von Tim) Après avoir fait une petite balade en explorant l’offre gastronomique dans les environs de l’hôtel, nous nous sommes rendus à l’adresse de la maison d’édition Larousse tôt dans l’après-midi, ce qui était le premier rendez-vous officiel de notre programme d’excursion. Dans la station de métro, quelques-uns d’entre nous ont fait une première expérience typiquement parisienne en montant dans le wagon au moment où les portes étaient en train de se refermer (sans résistance). Heureusement, aucun sac n’a été sérieusement endommagé. Parvenus à la rue de Montparnasse, nous avions tout d’abord un peu de mal à identifier le bâtiment de l‘extérieur parce qu’il n’y avait presque pas d’indications pour nous signaler que nous étions au bon endroit. Mis à part une dame âgée assise dans l‘un des canapés du hall de la réception, il y avait également de très jolis petits livres de cuisine mis en vente, par lesquels certaines d’entre nous furent vraiment fascinées. Effectivement, il ne nous a pas fallu attendre trop longtemps, car deux gentilles dames, Claude Nimmo ainsi que sa collègue Patricia, collaboratrices à l’institut, nous ont accueillis aussitôt, cachant difficilement leur étonnement à la vue de notre groupe beaucoup plus petit que prévu. Nous montâmes plusieurs escaliers. L’atmosphère devenait de plus en plus tendue, même élitaire, et après avoir passé un bon nombre de rayons de bibliothèque, on s’est retrouvés dans une salle lumineuse disposant d’une grande table de conférence. Penchées sur le questionnaire que nous leur avions envoyé quelques jours auparavant, Claude et Patricia nous ont informés de l’organisation et des méthodes qu’elles poursuivent en tant que lexicographes chez Larousse. Elles ont exposé quel rôle jouent les médias, la presse et surtout Internet pour l´introduction d’un mot ou d’un néologisme dans leurs dictionnaires. De même, le phénomène des anglicismes fit partie de notre discussion riche et vivante. Celle-ci a terminé par la remise d’un tout nouvel exemplaire du Petit Larousse illustré qui, avec certitude, enrichira significativement le corpus de notre bibliothèque à Erlangen. Nous avons su apprécier la bonne coopération et l’engagement de Claude Nimmo et de ses aimables collègues. Nous les remercions du fond du cœur de nous avoir accueillis et d’avoir gentiment répondu en détail à nos questions. Bereits wenige Stunden nach unserer Ankunft im Hotel und nach erstem Auskundschaften der kulinarischen Konsumfreundlichkeit vor Ort starteten wir bei angenehmem Wetter zum ersten offiziellen Programmpunkt – unserem Besuch beim Verlag Larousse –, wobei sogleich mancher Rucksack dem aggressiven Schnappverhalten der Metrotüren ausgesetzt war. Überraschend unscheinbar wirkte das Larousse-Gebäude in der Rue de Montparnasse von außen – eine ältere Dame versank im Sofa der Lobby, in der u.a. winzige, dennoch scheinbar praktische Rezepthefte zum Kauf auslagen; ein erster Anlass zur Faszination, wenn auch nicht für jeden. Kaum mussten wir warten, bis uns zwei charmante Damen empfingen: Claude Nimmo und ihre Kollegin Patricia, Lexikographinnen des hiesigen Instituts. Man hatte sich hier wohl nur auf eine Hand voll Leute eingestellt, in jedem Fall waren sie sehr erstaunt über die doch beachtliche Größe unserer Gruppe, woraufhin räumlich umdisponiert werden musste. Wir bestiegen Treppen an einer großen Glaswand, die Luft roch immer elitärer und wir wurden schließlich in einen hellen Raum mit Konferenztisch geleitet; noch vorbei an Bücherregalen, deren historischer Staub zu erahnen war. Unsere „Audienz“ begann: Ausgiebig hatte man sich mit unseren Fragen beschäftigt, die wir dem Verlag im Voraus gemailt hatten. So erfuhren wir beispielsweise viel über Recherche-Methoden und Prüfverfahren zu Neologismen, zu deren Einzug in die Wörterbücher sowie zu den Korpora, die hierfür herangezogen werden und auf die sich somit die (Beobachtungs-)Arbeit im Verlag in erster Linie beruft (vornehmlich die Presse, immer häufiger aber auch das Netz). Die Haltung gegenüber Anglizismen war ebenfalls ein brisanter Diskussionspunkt: so stieß der Ausdruck „l‘avion s’est crashé“ (statt „abîmé“) bei allen anwesenden Muttersprachlern auf geteilte Frustration. Unser intensiver eineinhalbstündiger Austausch endete am Schluss mit der liebenswerten Übergabe eines nagelneuen Exemplars des Petit Larousse illustré. Ihm wird sicherlich ein angemessener Platz in unserer Erlanger Bibliothek zukommen. Wir bedanken uns an dieser Stelle herzlich bei Claude Nimmo und ihrem Kollegium für diese wirklich seltene Gelegenheit, einen Blick hinter die Kulissen ihres Verlagsbetriebs werfen zu dürfen. 3. Académie française (von Verena) Vendredi matin à 10 heures, notre groupe avait l´honneur de pouvoir visiter l´Académie française. Toute l´année, l´Académie est fermée au public. Seuls les employés et le public invités aux séances y ont accès. C´est la raison pour laquelle nous étions vraiment très nerveux de découvrir ce qui nous attendait. Nous avons pris le Pont des Arts et nous nous sommes approchés du siège de l´Académie française, le Collège des Quatre-Nations, qui a été conçu au 17e siècle par l´architecte Louis le Vau. La coupole du bâtiment nous a émerveillés et Patrick Vannier qui a rendu possible cette visite nous a accueillis à l´entrée de l´Académie. À l´intérieur du bâtiment, nous avons pris place sous la fameuse coupole dans les fauteuils gris du public qui se trouvent en face des fauteuils verts des immortels. Une employée de l´Académie française nous a raconté en détail l´histoire de cette institution ainsi que le rôle et les missions de l´Académie au fil des siècles. Poussé par sa curiosité, un étudiant de notre groupe a posé une question concernant le célèbre habit vert des immortels: “Combien d´argent coûte le fameux habit vert des académiciens?“ Elle rétorqua “des milliers d´euros“ et le groupe fut vraiment étonné. Puis elle a raconté une petite anecdote qui a bien amusé notre groupe: quelques immortels ont pris du poids au fil des années, et le jour de la “séance solennelle“, ils ont quelque peine à rentrer dans leur habit vert. De surcroît, nous avions l´honneur de visiter les salles de réunion des étages supérieurs dans lesquelles les académiciens (des différentes académies) se rencontrent régulièrement. Patrick Vannier, un expert concernant le travail de l´Académie sur le dictionnaire, a répondu aux questions posées. Après cette visite guidée qui était vraiment extraordinaire, une femme à la réception nous a distribué, en raison du beau temps, des bouteilles d´eau que les immortels reçoivent normalement pendant leurs réunions. Très vite, un étudiant a fait une blague: “Ça nous rend immortels“! Nous avons quitté le Collège des Quatre-Nations et nous nous sommes réjouis du programme de l´après-midi: la visite de l´université Paris-Sorbonne. Am Freitagmorgen um 10 Uhr hatte die Exkursionsgruppe die Ehre, die Académie française besuchen zu dürfen. Für Touristen ist diese ganzjährlich geschlossen. Nur Mitarbeiter und eingeladenes Publikum der Versammlungen haben Zutritt. Umso gespannter waren wir auf dieses einmalige Erlebnis, das uns erwartete. Dem Gebäude der Académie française, dem Collège des Quatre-Nations aus dem 17. Jahrhundert von Baumeister Louis le Vau, näherten wir uns vom Pont des Arts aus an. Die Kuppel des Gebäudes beeindruckte uns und wir wurden am Eingang freundlich von Monsieur Patrick Vannier empfangen, der diesen Besuch erst möglich machte. Im Inneren der Académie durften wir unter der Kuppel auf den grauen Sitzen gegenüber den grünen „fauteuils“ (Sesseln) der „immortels“ („Unsterblichen“) Platz nehmen. Eine Mitarbeiterin des Hauses erläuterte uns ausführlich die Geschichte der Académie bis heute sowie ihre Rolle und Aufgaben im Laufe der Zeit. Getrieben von Neugierde fragte ein Student der Gruppe nach den Kosten des „habit vert“, dem traditionellen Anzug/Kostüm der „immortels“, und wir staunten: es kostet mehrere Tausend Euro. Umso erheiternder war die Anekdote, dass manche „immortels“, welche im Laufe der Jahre zugenommen hatten, sich am Tag der „séance solennelle“ in ihre Kostüme quetschen würden. Weiterhin hatten wir die Ehre, in den oberen Stockwerken die Sitzungssäle zu besichtigen, in denen sich die Mitglieder regelmäßig treffen. Patrick Vannier ging dort als Experte näher auf die Fragen der Studenten zur Arbeit der Académiciens hinsichtlich des Wörterbuchs ein. Nach dieser außergewöhnlichen Führung erhielten wir aufgrund des warmen Wetters von der Empfangsdame Wasserflaschen, welche auch die „immortels“ bei ihren Sitzungen erhalten. Schnell fiel der Satz: „Ça nous rend immortels“! Wir verließen die Académie und freuten uns auf das Programm am Nachmittag: den Besuch der Sorbonne. 4. Sorbonne (von Friederike) Vendredi après-midi, notre groupe a eu l'honneur de pouvoir visiter l'université de Paris-Sorbonne. Notre guide nous a fait découvrir la partie officielle de cette université prestigieuse, à laquelle l´accès est normalement interdit.. On a appris beaucoup de détails sur l'histoire et la fondation de l'université: la Sorbonne est née au XIIIe siècle sur la rive gauche, dans le futur "quartier Latin" de Paris. En 1253, le collège de Robert de Sorbon a été fondé. Il est situé dans le Ve arrondissement de Paris, où se trouve aujourd'hui le bâtiment que l'on connaît sous le nom de la Sorbonne. Cependant, il faut savoir que la "Sorbonne" n'est pas une seule université, mais qu'elle en regroupe plusieurs parmi les 13 universités parisiennes. D'abord, nous avons vu le Grand Hall et les Galeries, le Péristyle et le Grand Salon pour ensuite visiter le Grand Amphithéâtre, la Salle des Autorités et la Chapelle de la Sorbonne. Dans l'ensemble de la structure architecturale à l'intérieur ainsi que sur les tableaux qui ornent les murs, il y a une bipartition nette entre les lettres et les sciences, qui se retrouve dans chaque salle. Dans le Grand Amphithéâtre, on a fait la connaissance de Robert de Sorbon, Descartes, Lavoisier, Rollin, Pascal et Richelieu en personne – ou du moins en statue ! Ensuite, on a traversé la cour en jetant bien sûr un coup d'œil sur un magnifique cadran solaire doré avant de terminer notre visite dans la chapelle de l'université. Celle-ci a été fondée par Richelieu au XVIIe siècle, jadis proviseur de la Sorbonne en 1622 et futur cardinal. Il y est enterré et au-dessus de son tombeau est suspendu un chapeau de cardinal. Notre guide a profité de l'occasion où l'on était tous dans la chapelle pour nous parler des événements de la Révolution française pendant laquelle une grande partie de la chapelle a été saccagée. Merci pour cette visite intéressante ! Am Freitag Nachmittag hatte unsere Gruppe die Ehre, die Sorbonne zu besichtigen. Dank einer Führung konnten wir den offiziellen Teil des Gebäudes dieser renommierten Universität entdecken, zu welchem man normalerweise keinen Zutritt hat. Wir erfuhren viel über die Geschichte und die Gründung der Universität: Sie entstand im 13. Jahrhundert auf dem linken Seine-Ufer im späteren “Quartier Latin". Im Jahre 1253 wurde das "Collège de Robert de Sorbon" gegründet, und zwar im 5. Arrondissement von Paris, an der Stelle, an der sich heute das Gebäude befindet, welches wir unter dem Namen "Sorbonne" kennen. Aber man muss wissen, dass die Sorbonne nicht nur eine einzige Universität ist, sondern mehrere der 13 Pariser Universitäten vereint. Zuerst haben wir die große Eingangshalle ("le Grand Hall") und die Galerien ("les Galeries"), den Säulengang ("le Péristyle") und den großen Salon ("le Grand Salon") gesehen, und anschließend den großen Hörsaal ("le Grand Amphithéâtre"), den "Saal der Autoritäten" ("la Salle des Autorités") und die Kapelle der Sorbonne. In der gesamten Innenarchitektur sowie auf den Gemälden, die die Wände schmücken, ist eine deutliche Zweiteilung zwischen den Geistes- und den Naturwissenschaften zu erkennen, welche sich in jedem Raum wiederfindet. Im "Grand Amphithéâtre" lernten wir Robert de Sorbon, Descartes, Lavoisier, Rollin, Pascal und Richelieu höchstpersönlich - oder besser gesagt als Statuen - kennen :) Anschließend überquerten wir den Innenhof, natürlich nicht ohne einen Blick auf eine wunderschöne goldene Sonnenuhr zu werfen, um unsere Führung in der Kapelle der Universität zu beenden. Sie wurde von Richelieu, ehemals Leiter der Universität im Jahre 1622 und zukünftiger Kardinal, im 17. Jahrhundert gegründet. Er ist dort bestattet und über seinem Grab hängt ein Kardinalshut. Unser "guide" nutzte die Gelegenheit, dass wir gerade alle in der Kapelle versammelt waren, um uns die Ereignisse der französischen Revolution näher zu bringen, während deren ein Großteil der Kapelle zerstört worden ist. Vielen Dank für diese interessante Führung! 5. Historische Stadtführung (von Laura) Samedi matin. Début de la dernière grande étape de notre excursion. La mission de découvrir un Paris particulier, peut-être un peu ‘à part’, au-delà des Grands Boulevards et de la splendeur baroque nous conduisit au 46 rue François Miron du quartier historique du Marais. Derrière cette adresse se cache le siège de « Paris historique », une association à but non lucratif pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine culturel de la capitale. Elle est abritée dans la Maison d’Ourscamp. Les murs de la Maison d’Ourscamp, autrefois (dès 1248) la maison de ville du couvent cistercien de Chiry-Ourscamp (qui se trouve dans le département de l´Oise) servent depuis 1963 de centre d’information pour l’association. Cette maison à colombages presque anodine, avec une façade du XVI e siècle, reflète de manière emblématique la philosophie de l’association et de plus la stratification historique du Marais, laquelle est conservée dans l’architecture et la structure de l’arrondissement. Il faut rappeler ici que la Maison comprend une cave voûtée du Moyen-Âge, qui témoigne parfaitement de l’excellence de l’architecture médiévale. Elle évoque les différentes fonctions que les caves ont remplies dans l’histoire du Paris souterrain. Elles étaient utilisées comme lieux de réunions secrètes, servaient d’accès aux couloirs souterrains et d’abris pour les juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. La restauration de la maison fut un des premiers projets organisés dans les années soixante par des citoyens du Marais (à l’époque près de la démolition). Depuis ce temps-là, l’association se bat contre la destruction du panorama architectural de Paris. Finalement, la démolition de bâtiments historiques favorise chez les citoyens en premier lieu l’aliénation de la propre histoire et la déstabilisation de l’équilibre social. En effet, c’était une grande surprise d’apprendre que l’on doit le maintien du paysage urbain avec la Bibliothèque national de France, l‘Église Saint Germain des Prés etc., bref tout ce que nous avons pris en affection, à l’engagement de Paris historique. Il semble que « la résistance du ‘petit peuple’ » sert à faire bouger les choses, même dans les métropoles. Un fait que nous avons noté avec satisfaction. La visite guidée du Marais après l’introduction dans le centre d’information, nous a portés vers des joyaux tels que l’église jésuite Saint Paul-Saint Louis, la Place des Vosges et l‘Hôtel des archevêques de Sens, un immeuble dans le style gothiqueflamboyant, faisant penser à la maison Usher de Poe. Arrivés à la fin de notre visite guidée, il était clair pour nous tous (bien que nous soyons sans exception des voyageurs très attentifs) que notre rencontre avec Paris historique nous a encouragés une nouvelle fois à rechercher la beauté dans les détails. Samstagmorgen. Beginn der letzten großen Etappe unserer Exkursion. Die Mission das etwas andere Paris, jenseits der Grands Boulevards und der barocken Pracht zu entdecken, hat uns in die Rue François Miron 46 des historischen Stadtviertels Marais geführt. Hinter dieser Adresse verbirgt sich der Sitz des gemeinnützigen Vereins Paris historique, der sich für die Rettung und Sanierung des kulturellen Erbes der Stadt einsetzt. Untergebracht ist er in dem ehemaligen Maison D’Ourscamp. Das Maison, einst (seit 1248) die städtische Dependance des im Departement Oise ansässigen Zisterzienserordens Ourscamp, dient seit 1963 als Informations- und Dokumentationszentrum des Vereins. Das zunächst unscheinbar wirkende Fachwerkhaus mit seiner Renaissance-Fassade verkörpert emblematisch sowohl die Programmatik der Association als auch die ‚historische Stratifikation‘ der Marais, welche in der Architektur und Konzeption des Viertels erhalten geblieben ist. An dieser Stelle ist daran zu erinnern, dass das Maison in seinem Inneren ein gotisches Kellergewölbe beherbergt, welches eindrucksvoll die Meisterhaftigkeit mittelalterlicher Baukunst bezeugt. Paradigmatisch evoziert dieses Untergeschoss die Verwendungsmöglichkeiten und Funktionen jener unterirdischer Flächen in der Geschichte des unterirdischen Paris. Genutzt wurden sie als geheime Versammlungsorte, waren Bestandteil unterirdischer Gänge und fungierten als Verstecke für Juden im Zweiten Weltkrieg. Die Restauration des Maison d’Ourscamp war eines der ersten Projekte, das in den 60ern von den Bewohnern des abrissreifen Marais -Viertels initiiert worden war. Seither kämpft der Verein gegen die Zerstörung der architektonischen Landschaft der Stadt Paris. Schließlich begünstigt das Einreißen historisch gewachsener Gebäude auf der Seite der Bevölkerung die Entfremdung von der eigene Geschichte und zugleich die Destabilisierung des sozialen Gleichgewichtes. Eine gewisse Überraschung und möglicherweise auch Bestürzung rief die Information hervor, dass das Fortbestehen des so lieb gewonnenen Stadtbildes mit der Bibliothèque national de France, der Église Saint Germain des Prés etc. maßgeblich Paris historique zu verdanken ist. In der Tat scheint ‚der Widerstand der ‚kleinen Leute‘‘ selbst in Metropolen Großes bewirken zu können, was von uns mit Freude zur Kenntnis genommen worden ist. Die anschließende Führung durch das Marais führte uns, es seien nur ein paar ‚Juwelen‘ genannt, an der Jesuitenkirche Saint Paul- Saint Louis vorbei, über den Place des Vosges und schließlich zum Hôtel des archevêques de Sens, einem nahezu schlossartigen Gebäude im (gotischen) Flamboyantstil, welches Assoziationen mit Poes Fall of the House of Usher hervorruft. Am Ende der Führung angelangt, war uns allen klar, dass das Treffen mit Paris historique, selbst dem geneigten Betrachter (aufmerksame Reisende wie wir sie stets sind), erneut bewiesen hat, dass die Schönheit stets im Detail zu suchen ist. 6. Hip-Hop-Konzert (von Michael) Samedi soir, nous avons eu l'occasion d'assister à un spectacle très particulier : un concert de hip-hop du célèbre rappeur français Kery James, qui a eu lieu à Clichy, au nord-ouest de Paris, dans le cadre du festival Paris Hip Hop 2014. Mme Jansen, qui avait acheté les billets pour ceux d'entre nous qui s'y intéressaient, nous accompagnait avec son collègue américain M. Hebblethwaite, professeur à l'université de Floride et expert en langue du rap français. Au début, un jeune groupe de hip-hop nous montra un spectacle de danse impressionnant avant que Kery James ne monte sur scène. Si nous avons choisi en arrivant des places assises au fond de la salle, certains d'entre nous se levèrent de plus en plus souvent au fur et à mesure que le temps passait pour disparaître dans la foule qui se tenait debout devant la scène. Qu'ils soient d'origine européenne ou africaine, jeunes, adultes et même avec des enfants sur les épaules, bref, un public fort divers assistait à ce concert. Pendant l´entracte et après la fin du spectacle, on a eu la possibilité d'acheter des gâteaux et des boissons pour se restaurer. Même s'il n'était pas facile de comprendre les paroles, tellement le débit de paroles était rapide et la musique forte, nous avons profité de cette occasion unique de voir et d'entendre le célèbre rappeur Kery James en France. Nous en garderons un très bon souvenir ! Zu unserem vielseitigen Exkursionsprogramm gehörte auch der abendliche Besuch eines Hip-Hop-Konzertes des französischen Rappers Kery James, das im Rahmen des Festivals „Paris Hip Hop 2014“ in Clichy, einem Vorort nordwestlich von Paris, stattfand. Frau Professor Jansen hatte im Voraus für alle Interessierten Karten bestellt und begleitete uns mit einem amerikanischen Kollegen, Prof. Hebblethwaite von der University of Florida, der sich u. a. mit der Sprache des französischen Raps beschäftigt, zum Konzert. Den Anfang bildete die sehr gelungene Musikeinlage einer Hip-Hop-Gruppe von Jugendlichen aus der Umgebung, bevor Kery James die Bühne betrat. Zuerst nahmen wir auf den Sitzen im hinteren Teil des Saales Platz, doch manch einen von uns zog es im Laufe des Konzertes nach vorne in die vor der Bühne stehende Zusammensetzung Menschenmenge. des Publikums: Besonders Ob interessant europäischer war oder auch die afrikanischer Abstammung, Jugendliche, Erwachsene und sogar kleine Kinder auf den Schultern ihrer Eltern wohnten dem Konzert von Kery James bei. In der Pause und am Ende konnten wir uns noch mit Kuchen und Getränken stärken. Wenn auch die Texte durch das hohe Tempo oder die laute Musik nicht leicht zu verstehen waren, so war es doch eine außergewöhnliche Erfahrung, den berühmten Rapper live in Frankreich erleben zu dürfen. Herzlichen Dank für diese Gelegenheit! 7. Sehenswertes in Paris (von Ana) Paris ne décevra ni les plus intéressés par la culture, ni ceux qui préfèrent de tranquilles promenades en ville, car la capitale offre bien plus que la célèbre Tour Eiffel et Notre-Dame. Les musées les plus connus sont le Musée d’Art Moderne et le Musée du Louvre avec sa fameuse pyramide de cristal. Pour voir tout ce qu’offre le musée, il faut parcourir près de 17 kilomètres. Ceux qui cherchent un endroit tranquille et vert pour pouvoir se détendre après, ont la possibilité d’aller au Jardin des Tuileries qui se trouve juste à côté. En revanche, le parc parisien le plus connu est le Jardin du Luxembourg, situé en centre-ville. La Place de la Concorde – place phare de la capitale – est tout aussi impressionnante : en son centre, où siège l’imposant obélisque, on peut admirer la célèbre avenue des Champs-Elysées jusqu’à l’Arc de Triomphe. Enfin, il serait dommage de quitter la capitale française sans avoir visité l’Hôtel de Ville et la Place de l’Hôtel de Ville. Egal ob Kulturbegeisterte oder gemütliche Stadtbummler, Paris dürfte wohl keinen enttäuschen. Denn die Stadt bietet weitaus mehr als ‚nur‘ den wohlbekannten Eiffelturm und Notre-Dame. Unter die bekanntesten Museen fallen das Musée d’Art Moderne und das Musée du Louvre mit seiner berühmten Glaspyramide, für dessen kompletten Rundgang man stolze 17 Kilometer zurücklegen muss. Wer danach einen ruhigen, grünen Ort zum Ausruhen sucht, der kann in den gleich anliegenden Jardin des Tuileries gehen. Der jedoch bekannteste Park der französischen Hauptstadt ist der Jardin du Luxembourg, gleich im Zentrum der Stadt. Besonders beeindruckend ist zweifelsohne auch der monumentalste Platz von Paris – La Place de la Concorde. Von seinem Mittelpunkt aus, dem Obelisken, hat man die Möglichkeit, die gesamten Champs-Élysées bis zum Triumphbogen zu bewundern. Es wäre zudem schade, die Hauptstadt Frankreichs zu verlassen, ohne das Hôtel de Ville und den Place de l’Hôtel de Ville gesehen zu haben. 8. La gastronomie française/parisienne (von Katharina) À ne pas oublier lorsqu'on se trouve en France: la gastronomie. Parti très tôt le matin et après un petit-déjeuner peu copieux dans l'avion, notre groupe était plus qu'heureux de trouver quelques boulangeries juste à côté de l'hôtel. Et les différents sandwichs, les salades composées et bien sûr la pâtisserie pour notre premier déjeuner à Paris n'étaient que le début de notre voyage gastronomique à travers Paris. Guidés par Madame Légier, nous avons eu la possibilité de découvrir des brasseries et des restaurants typiques. Il est impossible d'énumérer tous les plats que nous avons dégustés au cours de ces quelques jours. Mais disons que des choses toutes simples, comme un croque-monsieur ou un éclair au chocolat, peuvent toujours avoir un effet étonnant sur le moral de tout le monde... Sans parler du vin que Madame Légier nous recommandait instamment pour accompagner nos dîners... Unvergesslich bei jedem Frankreich-Aufenthalt: Die französische Küche. Nachdem wir wegen unseres frühen Fluges außer einem nicht gerade reichhaltigen Frühstück-Flugzeug nicht wirklich viel zu uns genommen hatten, war die allgemeine Begeisterung groß, als wir bei unserer Ankunft am Hotel mehrere Bäckereien in derselben Straße vorfanden. Und die verschiedenen Sandwichs und Salate sowie natürlich das vielfältige Gebäck, das unser erstes Mittagessen vervollständigte, waren nur der Beginn einer kulinarischen Reise durch Paris. Dank Madame Légier hatten wir die Möglichkeit zahlreiche Restaurants und Cafés zu entdecken. All die Gerichte aufzuzählen, die wir uns während unseres Aufenthalts haben schmecken lassen, würde hier zu weit führen. Lasst uns einfach zusammenfassen sagen, dass ganz kleine Dinge, ein Croque Monsieur, ein Eclair au chocolat, nach einem erlebnisreichen Tag eine ganz erstaunliche Wirkung auf die allgemeine Laune haben können... Ganz zu schweigen vom französischen Wein, den Madame Légier uns sehr ans Herz legte... :) 9. Freizeitgestaltung während der Exkursion (von Florian) L'excursion à Paris nous a offert l'occasion d'avoir un aperçu de quelques institutions importantes de la capitale que le touriste lambda ne peut pas aisément visiter. En effet, ni l'Académie française ni la maison d'édition Larousse ni la Sorbonne ne sont ouvertes au grand public. Malgré ce programme riche et très informatif, nous avions suffisamment de temps libres dont nous avons pu disposer à notre gré : les uns se sont intéressés aux sites touristiques de Paris connus dans le monde entier, les autres ont profité de l'offre culturelle incroyablement variée (expositions, cinéma, concert, etc.), ont passé une soirée au restaurant ou encore se sont promenés dans la ville Lumière pendant des heures. Et dimanche, c’était l’occasion de faire quelques courses à Paris avant le retour en Allemagne. Par ailleurs, la Marche des fiertés lesbiennes, gaies, bi et trans, aussi appelée Gay Pride, avait lieu à Paris ce samedi -là. Le cortège, qui allait du Jardin du Luxembourg à la place de la République en passant par la place de la Bastille, a illuminé une grande partie du centre-ville aux couleurs de l’arc-en-ciel. Die Exkursion bot uns die Gelegenheit, einen einmaligen Einblick in einige bedeutende französische Institutionen zu erhalten, die man als gewöhnlicher Tourist nicht ohne weiteres besichtigen kann. Denn weder Académie française, noch der Larousse-Verlag oder die Sorbonne sind für die allgemeine Öffentlichkeit zugänglich. Trotz dieses reichhaltigen und sehr informativen Programms hatten wir auf der Exkursion ausreichend freie Zeit in Paris, die wir nach unseren eigenen Wünschen gestalten konnten: Die einen interessierten sich für die weltbekannten Pariser Sehenswürdigkeiten, die anderen nutzten das unglaublich vielfältige kulturelle Angebot (Ausstellungen, Kino, Konzerte etc.), verbrachten einen gemeinsamen Abend im Restaurant oder machten einen stundenlangen Spaziergang in der Lichterstadt an der Seine. Und sonntags gab es Gelegenheit, vor der Rückkehr nach Deutschland ein paar Einkäufe in Paris zu machen. Am Samstag fand außerdem die jährliche Gay Pride-Parade in Paris statt, Marche des Fiertés lesbiennes, gaies, bi et trans genannt, zu der ein Teil von uns ging. Der Paradezug vom Jardin du Luxembourg über die Place de la Bastille bis zur Place de la République tauchte einen großen Teil der Innenstadt in die Farben des Regenbogens. 10. Abreise (von Thomas) Drei ereignisreiche Tage voller Eindrücke lagen bereits hinter unserer Gruppe – Grund genug, die Exkursion am letzten Tag in entspannter Weise ausklingen zu lassen. So konnte der Sonntagnachmittag noch einmal dazu genutzt werden, Paris auf eigene Faust zu erkunden. Doch bevor es losgehen sollte, starteten wir noch ein letztes Mal mit einem typisch französischen Frühstück in den Tag. Bei Milchkaffee, Croissants und Marmeladebroten verschafften wir uns die nötige Stärkung und schmiedeten Pläne für den weiteren Tagesablauf. Ein Blick in einen Pariser Veranstaltungskalender machte schnell klar: Grund zur Langeweile bietet diese Stadt wahrlich nicht. Neben den zahllosen Museen lockten auch viele temporäre Ausstellungen – so bot beispielsweise das Institut du monde arabe die Möglichkeit, mitten in Paris eine Originalgarnitur des Orientexpresses zu besichtigen; Kunstbegeisterte kamen in der Ausstellung „Paris 1900“ auf ihre Kosten. Und wer sich bei der Vielzahl an Angeboten einfach nicht entscheiden konnte, fand beim gemütlichen Stadtbummel oder beim Durchstöbern von Geschäften eine nicht weniger interessante Beschäftigung. So ging es am späten Nachmittag ein letztes Mal zurück zum Hotel am Boulevard de Picpus. Schnell noch die letzten Souvenirs und Einkäufe eingepackt, hieß es dann: Abschied nehmen von Paris. Der Bus brachte unsere Gruppe zurück zum Flughafen – eine gute Gelegenheit, die Eindrücke der vergangenen Tage sacken zu lassen. Glücklicherweise nicht absacken ließ uns die Maschine, mit der wir die Heimreise antraten: So löste sich während des Starts ein Teil der Deckenverkleidung in der Kabine, was bei den einen für Erheiterung, bei den anderen für einen kurzen Schockmoment sorgte. Doch das Problem wurde durch das Bordpersonal schnell behoben, sodass alle Teilnehmer sicher und unbeschadet Nürnberger Boden betreten konnten. Die gute Laune der vergangenen Tage war dadurch jedenfalls nicht getrübt worden – so lautet die einstimmige Bilanz der Teilnehmer am Ende dieser Exkursion. Somit bleibt zu wünschen, dass auch in Zukunft Erlanger Romanisten die Möglichkeit erhalten, an weiteren Exkursionen teilzunehmen. In diesem Sinne: Fortsetzung folgt! Après trois jours mouvementés et riches en émotions, notre groupe a eu l’occasion de profiter du dernier jour de notre excursion en soufflant un peu. Ainsi, le dimanche après-midi était libre pour découvrir Paris à son gré. Mais avant de nous acheminer vers le centre-ville, une ultime fois, nous avons commencé la journée avec un petit déjeuner typiquement français. En prenant du café au lait, des croissants et des tartines de confiture, nous nous sommes restaurés en faisant des projets pour organiser le reste de la journée. Un coup d’œil sur l’agenda culturel de la ville de Paris nous l´a très vite fait comprendre : dans cette ville, il n’y a pas de quoi s’ennuyer ! Non seulement les innombrables musées de la ville, mais aussi de nombreuses expositions temporaires attirent l’intérêt des visiteurs. Ainsi, l’Institut du Monde arabe nous a donné l’occasion de visiter une rame originale de l’Orient Express en plein centre-ville ; ceux qui sont passionnés d’art trouvèrent leur intérêt dans l’exposition « Paris 1900 ». Et enfin, tous ceux qui, face à cette quantité d’options culturelles, n’ont pas réussi à prendre une décision pour l’une ou pour l’autre activité, ont trouvé leur bonheur en faisant une promenade en ville ou en faisant du lèche-vitrine. Tard dans l’après-midi, nous sommes rentrés une dernière fois à notre hôtel, sur le boulevard de Picpus. Après avoir mis les derniers souvenirs et achats dans les valises, le moment de quitter Paris est arrivé. L’autobus nous a reconduits à l’aéroport Charles de Gaulle – une bonne occasion de passer en revue les impressions des journées précédentes. Heureusement, pour nous, cela ne devait pas être la dernière occasion de se souvenir de nos impressions de Paris : car lors du décollage , une partie du revêtement du plafond de l’avion s’est également décollé, ce qui a provoqué des éclats de rire chez les uns et un moment de panique chez les autres. Mais le problème s’est avéré anodin, à tel point que les hôtesses et stewards ont pu le résoudre assez vite. Par conséquent, tous les participants sont arrivés sains et saufs à Nuremberg. De toute façon, ce petit incident n’a pas non plus cassé l’ambiance au sein du groupe jusqu´à la fin de cette excursion. Ainsi, il reste à souhaiter que les futurs romanistes de l’université d’Erlangen auront aussi la possibilité d’assister à un tel programme !